Nom: Somerset
Prénom: Mélysandra
Surnom : Lys’
Age: 17 ans
Année d'étude: 7ème année
Maison: Serdaigle
Baguette: Le sycomore produit des baguettes tournées vers la quête, avides de nouvelles expériences, et qui perdent de leur éclat lorsqu’on leur impose des activités trop terre à terre. C’est un trait particulier de ces belles baguettes de pouvoir prendre feu lorsqu’elles « s’ennuient ». De nombreux sorciers et sorcières, s’installant dans l’âge mûr, sont déconcertés de voir des flammes jaillir de leur fidèle compagne lorsqu’ils lui demandent, une fois de trop, d’aller chercher leurs pantoufles. Comme on peut s’en douter, le possesseur idéal de cette baguette a l’esprit curieux, une grande vitalité, le goût de l’aventure. Associée à un tel maître, la baguette de sycomore montre une capacité d’apprentissage et d’adaptation qui lui vaut une place de choix parmi les baguettes les plus appréciées au monde.
Le crin de licorne produit généralement la puissance magique la plus constante et se trouve le moins sujet à des blocages ou à des fluctuations. Les baguettes au cœur de licorne sont en règle générale les plus difficiles à mettre au service des Forces du Mal. Ce sont les plus fidèles et elles restent habituellement très attachées à leur propriétaire d'origine, qu'il s'agisse ou nom d'un sorcier ou d'une sorcière accomplis. L'inconvénient mineur des crins de licorne, c'est qu'ils ne donnent pas aux baguettes une très grande puissance (bien que le bois de la baguette puisse compenser ce défaut) et qu'ils sont portés à la mélancolie si on les malmène gravement, ce qui signifie que le crin peut "mourir" et qu'il faut alors le remplacer.
Description physique:
Mélysandra a des cheveux bruns légèrement ondulés aux reflets cuivrés qui viennent savamment encadrer un visage ovale au teint hâlé et aux pommettes saillantes. Son nez droit et fin est surmonté d'une paire d'yeux vairons vert et bleu brillants de curiosité ou évasifs selon son état d’esprit du moment. Sa voix est claire, limpide. Le front haut, l’arcade sourcilière haute et arrondie lui donnent un air naïf et un regard étonné ou curieux, plus rarement intéressé. Elle ne parvient à retenir l’attention sur elle que par l’intelligence, l’humour, ou ses idées particulières. Jamais en jouant les « gros bras ». Si elle ressemble beaucoup à sa mère dans ses courbes gracieuses et ses membres longilignes, elle a hérité sans peine de son père, ses expressions sévères lorsqu’elle est appliquée ou indifférentes si contrariée. Sans surprise sa couleur préférée est le bleu et ses nuances claires.
Description morale:
Il s'agit d'une sorcière aimant le calme et la solitude tout en sachant apprécier ponctuellement la compagnie des autres. De nature secrète, elle privilégie la qualité à la quantité mais s’arrangera toujours pour que ses connaissances pensent qu’ils font partie de ses proches. Elle se montrera toujours aimable et amicale pour peu que vous soyez courtois.
Elle observe beaucoup et s’amuse toujours de voir que les autres croient qu’elle est simplement dans la lune. Ses observations lui servent à anticiper ou éviter les erreurs des autres, mais aussi à la distraire dans ses activités de décryptage psychologique lorsqu’elle s’ennuie… Elle se livre peu tant que son interlocuteur en face d’elle n’a pas fait ses « preuves ». Et c’est pire qu’un examen de Poudlard… Car après être passé au crible de sa critique vous ne pouvez jamais savoir si vous êtes reçu ou ce qui a retenu son attention.
Elle est capable d’afficher un désintérêt poli qui passera sans problème pour de la modestie et de l’attention. Elle se montre très prudente lorsqu’on lui demande de faire part de ses opinions et prend la mouche lorsqu’on lui demande de prendre parti.
Elle s’intéresse aux pratiques ancestrales de la magie, même si elle ne se risque pas à la pratiquer sans une égide fiable. Globalement elle aime apprendre tant que le sujet l’intéresse et s’il y a des réticences elle va trouver des moyens pour qu’elle ait envie de se pencher dessus.
Elle dédaigne la médiocrité et la bassesse mais elle ne perdra pas de temps à les écraser du talon, laissant cela à des personnes plus disposées à le faire.
Elle apprécie la compagnie des autres maisons, sans a priori, même si on constatera qu’elle se retrouve souvent entourée de Serpentards ou de ses confrères.
Et le reste… vous le verrez bien assez tôt
Histoire:
Famille : Son père l’a élevée comme il l’aurait fait s’il avait eu un fils, enfin presque car, Blanche ne lui a pas permis d’écarter Lys’ ou de lui retirer son droit à prendre part à son éducation.
En tant qu’aînée, Mélysandra a grandi avec les inconvénients et les avantages que confèrent cette position qu’elle trouve finalement peu confortable mais tout à fait valorisante quand elle a l’occasion de dorer leur blason familial, cependant elle n’en fait pas une affaire d’état.
Figure paternelle: Henry Edmond Somerset (Serpentard)
Anglais de pure souche, sa famille est à la base sorcière même s’il existe une branche moldue.
S’il est indifférent au sort de ces « cousins », il leur accorde un certain crédit du à leur ascension sociale et l’héritage de leur nom (Seymour). Il a fait ses études à Poudlard et comme le reste de sa famille a été envoyé à Serpentard. Si dans sa jeunesse, l’honneur de sa famille lui pesait sur parfois sur les épaules, son orgueil lui interdisait de le montrer et de se marier à une héritière qui ne serait pas son égale.
C’est un homme sévère qui prise le raffinement, l’élégance et bien sûr l’ambition. Ses instincts aiguisés et ses remarques pertinentes font de lui un homme à la fois craint et respecté.Figure maternelle: Blanche Adelphane Somerset (Serdaigle)
Sa famille a croisé bien des sangs de divers pays européens mais au demeurant toujours sorcier.
Cette femme est pourrait-on dire une figure emblématique du mécénat. Une tradition dont elle déplore l’extinction. Malgré quelques moments de désaccords avec son époux, elle a conscience de sa chance d’avoir échappé à un mariage de convenance. De famille plus humble, elle a défendu sa place au côté de son mari, par son esprit subtil et son attitude distinguée. Initiée à certains arts magiques et anciens, elle distille ses enseignements, pour que sa fille évolue à son rythme et selon ses choix.
Son chat : Il lui a été offert lors de son admission à Poudlard, il s’appelle Orphée. Il a été bien élevé mais il a son petit caractère et ses moments d’espièglerie. Ce siamois est très affectueux envers sa maîtresse et ses proches mais on ne peut pas en dire de même pour les autres, peut-être arriverez vous à l’amadouer… ou peut-être pas…Enfance:Mélysandra est une enfant choyée et l’espoir de ses parents qui à leur manière l’entourent de leur tendresse tout en lui inculquant ses devoirs.
Au cours de son enfance et jusqu’à présent, elle a continué à faire des voyages entre la France et l’Angleterre, où elle a grandi alternativement. Du fait que sa mère a de la famille en Europe, elle a aussi beaucoup voyagé pour rendre visite à ses cousines, elle parle donc plusieurs langues mais ne les maîtrise pas toutes.
C’est la nomination récente de son père dans le Département de la Coopération Magique Internationale à Londres, qui a contraint la famille à retourner vivre dans leur demeure à Londres.
Etudes à Poudlard : Au début tout à fait tranquilles, en dehors de sa frustration à vouloir tout apprendre sans y parvenir car certaines matières font de la résistance. Mélysandra s’est marginalisée d’elle-même et s’est tenue écartée de toute suggestion de faire d’elle une préfète, une observatrice ne peut être sur la scène. Au dam de son père évidemment qui aurait apprécié qu’elle exploite son potentiel de manière plus « appropriée » et moins en coulisse. Elle aime bien voler mais uniquement par plaisir, le Quidditch ne l’intéresse qu’en tant que spectatrice, et encore… Les visites à Pré au Lard ont allégé son ennui de ce sport. Elle ne compte pas d’amis fidèles et se concentre sur ses études, les personnes qu’elles côtoient étant des partenaires de groupe. Et comme il faut une exception à toute règle, Jade Selvin s’est fait un plaisir de lui démontrer à quel point cette expression est vraie. Mélysandra s’en étonne ou s’en amuse encore aujourd’hui. Un alliage surprenant que cette amie qui a obtenu sans peine la bénédiction de son père et l’approbation calculée ( ?) de sa mère. Pour une fois ce serait cette dernière qui aurait quelque chose derrière la tête et non son paternel… Enfin toujours est-il que Mélysandra n’a plus vécu Poudlard de la même façon après sa rencontre avec la Serpentarde, d’ailleurs sa baguette se fait fort de lui rappeler qu’elle est très contente de cette amitié.
